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Thursday, October 20, 2016

MUSÉE DES BEAUX ARTS de BOSTON / MUSEUM OF FINE ARTS (MFA).

Musée des Beaux-Arts de Boston, MA.
Il s'agit du deuxième musée visité durant le dernier jour passé à Boston, Massachusetts. Le musée des
Galerie d'Art contemporain
Beaux Arts se trouve à proximité du musée Isabella Stewart Gardner, mais est beaucoup plus grand. C'est l'un des principaux musées des États-Unis, classé 4ème par son importance par Wikipédia. Il n'était pas possible de voir toutes les collections. J'ai donc opté de choisir de visiter deux des collections principales :
  • Tout d'abord, la section d'Art américaine, car étant en Amérique du Nord, je pensais que cela s'imposait.
  • Ensuite, la peinture française, sachant que le musée des Beaux-Arts possédait une collection particulièrement riche, notamment sur l'Impressionnisme.
C'était suffisant en fonction du temps que je pouvais y consacrer. Toutefois, il m'a été également possible de jeter un œil rapide sur d'autres collections, telles que la peinture européenne [Art in Europe], l'art contemporain et même les antiquités égyptiennes.

L'aile de l'Art américain.

La richesse de cette section m'a forcé, une nouvelle fois, à faire une autre sélection. J'ai trouvé
Intérieur colonial
particulièrement intéressant de voir des intérieurs domestiques entièrement reconstitués avec un ameublement de l'époque. La Nouvelle Angleterre a été aux origines du pays. C'est ainsi que l'une de ces pièces reproduit une salle-de-séjour anglaise, tandis qu'une autre, révèle un intérieur cossu de la période coloniale.
La section consacrée à la peinture américaine [American paintings highlights] est particulièrement intéressante, comme on peut s'y attendre. Deux peintres majeurs ont retenu mon attention. L'un d'eux est John Singer Sargent, dont j'avais déjà pu voir quelques œuvres auparavant au musée Isabella Stewart Gardner. L'autre a été Mary Stevenson Cassatt, la seule américaine à avoir vécu à Paris, et qui fut l'une des figures majeures du mouvement impressionniste. 
Mary Cassatt:'Woman reading before a screen'.
D'autres artistes américains présentés sont entre autres : John Singleton Copley, Georgia O'Keeffe, Jackson Pollock.
L'un d'entre eux est particulièrement intéresssant. Il s'agit de Fitz Henry Lane qui a utilisé un appareil-photo pour ensuite composé ses tableaux.
Biographie de Fitz Henry Lane

Fitz Henry Lane & la photograhie
Fitz Henry Lane:'View of Coffin's Beach'.
La section des peintures françaises.

Cette collection est d'une richesse incroyable [French paintings]. On y trouve quelques tableaux d'importance majeure, notamment une remarquable collection de peintres impressionnistes et post-impressionnistes. La diversité des peintres exposés inclue : Boucher, Corot, Millet, Courbet, Manet, Degas, Cézanne, Monet, Renoir, Gauguin, et Matisse. Il ne s'agit là que de quelques uns des peintres de la collection. On pourrait ajouter aussi de très beaux tableaux de Delacroix et de  Fromentin.
A noter que le MFA possède une salle entière consacrée à Claude Monet, dont un grand tableau assez unique, intitulé 'La Japonaise', souligne l'importance du japonisme de l'époque.
Claude Monet
Étant de la Ville d'Arles, j'étais également intéressé par les toiles de Vincent Van Gogh, dont deux sont extrêmement célèbres : 'Le facteur Roulin' et son épouse 'La Berceuse'.
Vincent Van Gogh
Hormis plusieurs Cézanne, il y a également une immense toile de Paul Gauguin à Tahiti : 'D'où venons-nous ?..' et aussi une sculpture en marbre d'Auguste Rodin: 'Psyché'.
Paul Gauguin
Le Musée des Beaux Arts apparaît donc comme un haut lieu culturel complémentant une visite de Boston. Sa richesse est à la mesure du rayonnement exercé par cette capitale régionale, abritant plusieurs institutions universitaires prestigieuses comme Harvard ou le MIT.


Claude Monet:'La Japonaise'.
Edgar Degas
Pierre Auguste Renoir

Wednesday, October 19, 2016

ISABELLA STEWART GARDNER MUSEUM, Boston, MA.

De Venise à Boston, le hasard de mes tribulations a voulu que je découvre en Amérique du Nord, ce 
ravissant petit musée. Comme pour la Collection de Peggy Guggenheim, à Venise, il s'agit d'une collection privée amassée pendant pendant toute une vie par une richissime milliardaire américaine, collectionneuse et protectrice des Arts. Le parallèle ne s'arrête pas là. La construction du musée de Boston a été inspirée par le Palazzo Barbaro, sur le Grand Canal de Venise. [Palazzo Barbaro, Venice ] En 1885, ce palais gothique vénitien est devenu la propriété d'un couple américain, apparenté au peintre John Singer Sargent (né à Florence en 1856- mort à Londres en 1925). [John Singer Sargent ]
Museum courtyard
Venetian-style façade
Isabella Stewart Gardner (1840-1924).

Née à New York en 1840, Isabella Stewart épousa en 1860, le Bostonien John ('Jack') Lowell Gardner Jr. Les nombreux voyages des Gardner sont à l'origine d'une passion artistique qui, à partir de 1891, devint une véritable passion de collectionneur quand le père d'Isabella lui légua sa fortune. L'importance de la collection accumulée poussa Isabella à envisager la construction d'un lieu pour préserver les œuvres d'art acquises. A la mort de son mari en 1898, Isabella matérialisa son projet en achetant un terrain dans le quartier de Fenway, confiant la construction à un architecte, tout en conservant ses prérogatives dans la réalisation du projet. Le musée, appelé alors Fenway Court, ouvrit en 1903.

L'Architecture du musée.

Ce musée, ouvert en 1903, adopte donc un style pour le moins original. Construit par l'architecte Willard Thomas Sears (1837-1920) [W.T.Sears] il est donc directement conçu dans un style rappelant le palais Barbaro de Venise.
Il comporte trois étages édifiés autour d'un remarquable patio central, planté d'essences tropicales, sous une verrière de verre, servant de toit.
Lors de ma visite, le deuxième étage était malheureusement fermé. Je n'ai donc pu voir que le rez-de-chaussé et le 2ème étage.

Les Collections.

L'aile droite du 1er niveau (1st Floor) a été édifiée dans le style d'un cloître espagnol. On y trouve une
Plan du R-d-C.
immense peinture de John Singer Sargent, El Jaleo. La salle jaune renferme deux toiles de maîtres : Terrace de Saint-Tropez, d'Henri Matisse et Nocturne : Battersea Reach, de James McNeill Whistler. Le patio contient une mosaïque romaine, Méduse, ainsi qu'un sarcophage également de l'époque romaine.
Le 2ème étage (3rd Floor, selon les critères nord-américains) est d'une richesse exceptionnelle. Il se compose de quatre salles. Une très belle salle de style italien, appelée la salle Vérone. Elle s'ouvre sur une deuxième pièce, appelée salle Titien. On y trouve un buste de Benvenuto Cellini, Bindo Altoviti, une superbe peinture du Titien, The Rape of Europa (1562), et une toile de Velázquez, Philippe IV d'Espagne. Les collections de la Galerie Longue, possède une Vierge à l'Enfant de Sandro Boticelli ; quant à la chapelle, elle renferme un magnifique vitrail venant de la Cathédrale de Soissons. Pour terminer, l'immense salle gothique contient une peinture de Giotto, le Christ enfant au Temple, ainsi q'une toile de John Singer Sargent, représentant Isabella Stewart Gardner.
Gothic Room

Veronese Room
L'aile moderne de l'entrée de ce remarquable musée fait office de bibliothèque, de lieu de conférence ; le salon ouvert au public demeure un ajout à la fois inhabituel et bienvenu dans un musée. Ajoutons également que le restaurant, au service impeccable, offre une variété de choix digne d'un grand restaurant, à des prix très raisonnables.


C'est grâce aux recommandations de mon ancienne collègue et amie, Toni Dyktor-Mullen, que j'ai inclus cette visite pendant mon séjour à Boston. Lorsque que j'étais chez Rob et Toni, dans leur ravissante petite maison du Cap Cod, à South Dennis, Toni avait insisté pour que j'aille à ce petit musée. 
J.S.Singer:Isabella Steward Gardner
Roman mosaic: Medusa
John Singer Sargent: El Jaleo

Tuesday, October 18, 2016

LA COLLECTION PEGGY GUGGENHEIM à VENISE.

Coté Grand Canal
On a souvent tendance à considérer Venise comme un réceptacle des arts allant de la période médiévale au baroque. Or il existe un temple du modernisme du XXe dont les collections inestimables en font un des haut-lieux artistiques européens. Il s'agit de le collection Peggy Guggenheim, sise dans une bâtisse du XVIIIe, le Palais Venier dei Leoni. Sobre de l'extérieur, ce palais vénitien est situé au bout du Grand Canal, de l'autre côté de San Marco, dans le quartier résidentiel de Dorsoduro
Jardin de la collection

PEGGY GUGGENHEIM.

Il s'agit, en fait, d'une collection privée, celle de Peggy Guggenheim (1898-1979). Riche héritière d'une prestigieuse famille, Peggy Guggenheim est l'une de ces nombreuses mécènes américaines, dont la vie entière fut consacrée à amasser des œuvres d'art. C'est ici qu'elle vécut durant les trente dernières années de sa vie et c'est ici également qu'elle enterrée – à titre exceptionnel – dans le jardin. A la fin de sa vie, demeure et collections furent léguées à la fondation Salomon R. Guggenheim.

UNE COLLECTION D'ARTISTES PRESTIGIEUX.

Plan du musée
Il y a deux parties principales dans ce petit musée : un jardin contenant des statues d'artistes célèbres comme Giacometti, Henri Moore, ou Calder ; et la demeure proprement dite où se trouve l'ensemble des collections. La richesse des œuvres présentées est telle qu'elle ne permet pas de citer la totalité des artistes. On retiendra toutefois les noms de quelques grands maîtres du XXe : Picasso, Braque, Klee, Kandinsky, Dali, Magritte, Miró, Modigliani, Tanguy, Chagall, Ernst ou Léger. Cet ensemble représente toutes les grands mouvements du siècle passé : Abstraction, Cubisme, Futurisme, Surréalisme ou l'Expressionnisme américain.
Pour les amateurs de photos, on trouve également une collection de photographies de Man Ray.

Pour les amateurs d'art moderne, les trésors de cette prestigieuse collection d'artistes semblent difficilement être un lieu à ignorer au cours d'une visite de Venise.

Giacometti

Henri Moore
Calder
'La Baignade', Pablo Picasso (1937)
'La Voie des Airs', René Magritte
'Birth of Liquid Desire', Salvador Dali.


















Une fenêtre sur le Grand Canal.

EXPOSITION : "Miroir du Désir" – Images de femmes dans l'estampe japonaise, Paris.

Lors de mes nombreux passages à Paris, comme je suis en général dans le quartier du Trocadéro, j'ai
pris l'habitude de passer au Musée Guimet, soit pour y voir une exposition, soit pour visiter la boutique aux nombreux ouvrages spécialisés sur l'Asie.

LE MUSÉE GUIMET – C'est le musée des arts asiatiques de Paris. Vivant depuis si longtemps en Asie du Sud-Est, on comprendra aisément l'attrait que cela peut susciter.
Cette fois-ci, j'y suis donc retourné pour revoir les galeries khmères, mais aussi pour m'attarder un peu plus sur la section siamoise, et par la même occasion les collections japonaises. Cette dernière partie était en fait, une excellente introduction à l'exposition du moment consacrée à l'estampe japonaise.

'MIROIR DU DÉSIR' – Exposition temporaire.

L'estampe japonaise, souvent gravée sur bois, est un mouvement artistique japonais datant de l'époque d'Edo (1603-1868). Edo est l'ancien nom de Tokyo. Cette période se termine avec la restauration Meiji, c'est à dire la période de modernisation du Japon, qui sort de son isolement pour s'ouvrir sur le monde. Ce mouvement artistique dépeint des scènes narratives et populaires. Il porte le nom de ukiyo-e [浮世絵] se traduisant en français par « l'image du monde flottant ». Les thèmes abordés étaient innovants : courtisanes, scènes érotiques, acteurs du Kabuki, lutteurs de sumo, scènes de la nature ou de lieux célèbres.
Arrivé en Occident, l'Ukkiyo-e, a joué un grand rôle sur la peinture européenne, en favorisant notamment le japonisme. L'école de Pont-Aven avec Paul Gauguin, Camille Pissaro, Émile Bernard, Paul Cézanne, comme les impressionnistes, se sont inspirés de cette influence japonaise. Van Gogh a imité la peinture japonaise dans un premier temps. Dans sa maison de Giverny, Claude Monet, a non seulement collectionné un grand nombre de ces œuvres, mais il a également crée un jardin japonais. Le Musée des Beaux Arts de Boston lui rend d'ailleurs hommage en consacrant une salle entière à ses œuvres, dont un portrait géant à l'effigie d'une geisha occidentale.
Parmi les maîtres des estampes Ukiyo-e, l'exposition présentait notamment Utamaro (1753-1806), Hokusai (1760-1849) et Hiroshige (1797-1858).
Utamaro – La courtisane Takigawa de Gomeiro

Katsushika Hokusai - Women diving for abalone




Une très belle rétrospective donc, présentée dans la Rotonde du Musée et qui valait bien le déplacement.

La Rotonde du Musée Guimet

Monday, October 17, 2016

THAILAND BRACES UP IN MOURNING ITS BELOVED KING.

Monday, 17 October.

Five days after King Bhumibol passed away, it seems that after a period of shock, Thailand braces up in its long mourning period.

Monday morning came with no sign of disruption. The baht remained stable and by judging the daily life in the streets of Bangkok, the Thais carried on their usual activities simply revealing the ongoing sadness in the way they are dressed. Public sites like banks, shopping malls or condo lounges have started to install visible signs of the royal mourning with black and white ribbons, the two colors of funerals. People are signing the wishing books as it is customary in the country to celebrate royal occasions like anniversaries or birthdays. The only major difference is the evident sadness. This is a weird episode in a country normally accustomed to celebrating joyful moments.
Reading today's local papers was a confirmation of the current trend. The country moves on to a more daily routine. Some papers like The Bangkok Post keep on praising the King's life in retrospect. Yet, there were colored pictures of the Crown Prince leading a royal ceremony at the Grand Palace, where the body of the King is resting peacefully. The King & Queen of Bhutan came to the capital to honor the King of Thailand, a symbolic gesture perceived favorably by the Thai people. Japan announced that it was ready to help financially any of its economic involvement in the country.Time and reality reveal once more how the Thais are able to adapt to new situations in keeping with their Buddhist principles.
                And this brings forward today's reflection on the current state of the country. It may well be
misunderstood by Westerners. The fact that the Crown Prince is requesting a one-year's delay to accept the coronation could indeed have a deeper meaning. Since HM the Prince was a bit of an alien in the royal public scenes, delaying the moment may also be a proper way to act in a Thai perspective. In the Buddhist religion, there is a place for merit-making. Showing him today honoring his father serves the purpose. One full year of mourning may sound incredibly long for outsiders. But in the East, time does not hold the same value as in the West. The months ahead could be favorably used by the Crown Prince to get more acquainted with Thai people and consequently be progressively accepted. It sounds a smoother approach rather than brutally accepting to become the new King. There is no doubt this is an adequate behavior in a Thai perspective knowing also that for Buddhists merit-making is an important part of their religious beliefs. As weird as it might be, it only shows a difference in behavior. Call it a cultural shock, if you will. Keep in mind that from a Buddhist perspective the past is the past, we do not know what the future will be, so only the present is important. For the time being, Thailand must move on.

Thailand has had a long history of cultural continuity and there is no sign at the moment that this will ever change. Perhaps, it is no accident that two other similar Asian countries stand close to the Thais, namely Bhutan & Japan.



Royal effigy at the Bangkok Stock Exchange
Bangkok Bang outlet at a mall

EXPO : « Jacques Chirac ou le Dialogue des Cultures », Paris.

Lors de mon dernier passage à Paris, j'ai pu aller voir une superbe exposition consacrée à Jacques Chirac, au musée du Quai Branly. C'était une remarquable rétrospective pour deux raisons. D'une part pour la diversité et le choix des collections présentées. Et également pour avoir mis à l'affiche l'histoire d'un homme hors du commun, à l'origine du musée des Arts premiers. La visite de ce musée et de ses collections est d'une valeur inestimable.
Toute politique mise à part, cette exposition révèle l'incroyable destin d'un
Parcours de l'exposition
homme politique, qui, de maire de la Ville de Paris, est devenu ministre et finalement Président de la République Française. Or ce sont justement les valeurs d'un homme exceptionnel que l'on a pu ainsi découvrir. Celles d'un humaniste moderne dont la vie entière semble avoir été influencée par les cultures de l'Autre. On savait que Jacques Chirac portait un intérêt particulier pour l'Afrique. Certes, l'art africain avait déjà influencé un grand nombre d'artistes du XXe, dont Picasso, Matisse ou Giacometti. On connaissait moins par contre la profonde admiration de Jacques Chirac pour l'Extrême-Orient. Ce qui explique peut-être pourquoi, son épouse et lui décidèrent d'adopter une jeune vietnamienne.
Que cet attrait personnel pour les cultures de l'autre ait eu une influence sur l'étonnant destin de cet homme au parcours atypique, cela ne fait aucun doute. Que cela ait contribué à rendre Jacques Chirac un personnage mondialement respecté, en fonction justement de ce « dialogue des cultures », est une évidence. Identique à un masque, la fonction politique ne montre pas toujours le vrai visage de l'homme qui se cache derrière. C'est 
d'ailleurs l'intérêt majeur de cette très belle exposition-rétrospective. Ces masques présentés justement, qu'ils soient d'Afrique, du Japon, ou d'ailleurs, sont les témoins universels du dialogue humain. On pense ainsi à « La Voie des Masques » de Claude Lévi-Strauss, mais aussi au dramaturge William Shakespeare [ 'L'Ombre du Masque' ]. En voyant côte à côte des masques du Nô ou du Bénin, on peut ainsi mieux saisir le dialogue invisible de l'Homme ['Le Masque et l'Histoire' de Céline Moretti-Maqua ].
En fonction d'un intérêt et d'un parcours personnels, je me suis senti impliqué par cette exposition reflétant pleinement l'esprit du XXe siècle. L'hommage rendu à l'homme, celui-là même qui fut à l'origine de la création du musée du Quai Branly, a donc contribué à rendre Jacques Chirac, plus sympathique et surtout tellement plus sincère dans ses convictions du « dialogue des cultures ». 
On pourrait même ajouter qu'il n'est pas improbable que c'est souvent ce que les Français attendent du premier personnage de l'État.

Christian Sorand


Affiche expo coloniale 1931



Citations





4 masques de l'expo